TOP 10 des jeux CONTROVERSÉS retirés de STEAM !

#10 : « Abstractism » (2018)

Après avoir entendu parler de ce petit incident, on est devenu plus méfiants en achetant des jeux bon marché. « Abstractism » était un modeste jeu de plateforme qui se faisait passer pour un jeu simple auprès des joueurs. Mais en fait, y avait anguille sous roche. Apparemment, le jeu faisait partie d’un complot pour miner de la crypto monnaie à partir de l’ordinateur des joueurs, en les arnaquant à coup de faux DLC pour d’autres jeux. Le développeur Okalo Union a tenté de faire croire que ces fichiers étaient nécessaires pour lancer le jeu, mais personne n’était dupe, et le jeu a été rapidement supprimé.

#9 : « Piccled Ricc »

Ce n’est pas parce qu’une blague a été reprise des milliers de fois qu’on peut en faire un jeu, surtout quand il y a des soucis de droits d’auteur. En novembre 2017, un développeur du nom de « Ata Berdyev » a mis en ligne un Beat’Em Up nommé « Piccled Ricc », (Rick-ornichon dans la version française de la série) pour surfer sur le succès de cette blague de Rick & Morty.Même s’il a attiré l’attention de certains grands YouTubeurs, Berdyev a surtout été repéré par Steam qui lui a signalé que son jeu allait être retiré pour atteinte aux droits d’auteur. Berdyev a tenté d’invoquer le fair use, en affirmant qu’il s’agissait d’une « parodie ». Visiblement pas convaincant, le jeu a été retiré.

#8 : « Darkspore » (2011)

Il est rare qu’un jeu soit tellement mauvais que le distributeur le retire lui-même. Pourtant, ça a été le cas du RPG d’action d’EA, « Darkspore ». Quand le jeu est sorti, il était rempli de bugs qui faisaient perdre leurs personnages aux joueurs, enfin s'ils arrivaient à se connecter ! D’ailleurs, est-ce qu’on a précisé qu’il fallait une connexion internet permanente ? Comme pour « SimCity » … Deux ans après sa sortie, EA a enfin annoncé qu’ils allaient retirer le jeu de Steam, tout en assurant aux fans qu’ils le reverraient un jour. Spoiler : ça n’a pas été le cas.

#7 : « 007 Legends » (2012)

Voilà peut-être le pire titre de James Bond depuis l’époque de Timothy Dalton… dans une volonté de surfer sur le succès du remaster de « GoldenEye », Activision a sorti « 007 Legends », qui n’était rien d’autre qu'une compilation de moments cultes tirés de James Bond, et réunis sous la forme d’un affreux jeu vidéo.Les combats étaient incroyablement barbants et tièdes, et l’expérience tout entière était aussi bâclée que « Meurs un autre jour ». Et dire qu’ils réclamaient soixante dollars pour ce truc ! Activision n’a pas commenté la suppression du jeu, qui a convaincu beaucoup de monde que c’est ce ratage qui a poussé le distributeur à retirer tous les jeux 007 de Steam. Une théorie plausible qui ne sera peut-être jamais confirmée.

#6 : « Raccoon Hero » (2017)

Steam Greenlight n’était pas exactement la meilleure plateforme du monde pour les développeurs indés, et ses défauts ont rapidement été exploités. Par exemple, les utilisateurs pouvaient mettre en ligne autant de jeux qu’ils le souhaitaient sans conséquences ou frais. Une franchise s'est rendue coupable d’un tel acte, avec ce jeu de puzzle nommé « Raccoon Hero ». Deux semaines après la sortie du premier jeu, ce titre a été accompagné de quatre suites, gonflant le flux de mauvais jeux qui bouchaient déjà Steam. La cerise sur ce gâteau indigeste, c'est que tout était grosso modo copié-collé.

#5 : « Ride to Hell: Retribution » (2013)

Ça fait cinq ans, mais on ne s’en est toujours pas remis. « Ride to Hell: Retribution » était l’un des pires jeux de 2013, et pour de bonnes raisons. Bugs, bugs, bugs, scènes sexuelles gênantes, bugs, bugs, bugs, re-sexe gênant, et le cycle continue. Le distributeur Deep Silver n’a jamais vraiment expliqué sa suppression, mais on imagine bien que c’est parce que personne ne l’achetait, étant donné qu’il était connu pour être affreux au point d’en être risible.

#4 : « Wild Buster: Heroes of Titan » (2017)

On ne croise pas tous les jours un MMORPG aussi étonnamment solide, et c’est ce qui rend son retrait encore plus décevant.Le jeu n’a pas été supprimé à cause d’une mauvaise qualité, de problèmes techniques ou d’autres éléments aussi accablants comme d'autres titres de cette liste. En fait, il a été retiré parce que le développeur, Insel Games, manipulait les notes et les avis. Le PDG a demandé à ses employés dans un email d’acheter le jeu et de poster des avis positifs sur Steam, sous peine d’être virés. Quand la nouvelle s’est répandue, Steam a supprimé le compte d’Insel Games et a retiré Wild Buster du magasin. Quel dommage…

#3 : « Day One: Garry’s Incident » (2013)

Et voici l’un des jeux les plus notoires et honteux de la plateforme ! Après que feu John Bain (alias TotalBiscuit) ait critiqué « Day One: Garry’s Incident » à cause de ses bugs et de sa qualité effroyable, le développeur Wild Games Studio a tenté de faire supprimer la vidéo pour le faire taire. Mais l’inverse s’est produit, et Bain a mis en ligne une autre vidéo pour montrer ce qui s’était passé, en les critiquant d’autant plus.L’outrage public qui a suivi a forcé Wild Games à retirer leur interdiction. Peu de temps après cet incident, Wild Games s’est mis à manipuler les avis sur Metacritic via de faux comptes. Aucune déclaration n’a été faite après la suppression du jeu, mais elle vient sûrement de ces scandales.

#2 : « Paranautical Activity » (2014)

« Paranautical Activity » est toujours disponible à l’achat, mais pendant un temps, le jeu a été retiré de la vente à cause de quelques tweets virulents. Après sa sortie en octobre 2014, le développeur du jeu, Mike Maulbeck, s’est énervé parce que Steam avait mis par erreur la mention « Early Access » sous le nom du jeu. Par frustration, il a posté une série de tweets furieux à l’encontre de Steam, dont une menace de mort contre le PDG de Valve, Gabe Newell. Vous imaginez ce qui s’est passé ensuite. Le jeu a été vendu à un autre développeur, Digerati, qui a ajouté d’autres éléments au jeu avant de le rendre à nouveau public en février 2015. Depuis l’incident, Maulbeck a dit avoir regretté ses actes. Sans déc.

#1 : Tout ce qu’a fait Digital Homicide (2014-16)

Digital Homicide n’est pas qu’une simple blague parmi les utilisateurs de Steam, ils sont la risée de toute l’industrie du jeu vidéo. Pendant les deux années de la société, les fondateurs James et Robert Romine ont mis en ligne des dizaines et des dizaines de jeux, qu’ils soient complètement buggués, cousu de fil blanc ou tout simplement puéril voire offensant. La société s’est rapidement effondrée à cause de leur incapacité à accepter les critiques. Lors de leur célèbre procès contre Jim Sterling, ils ont tenté d’attaquer en justice plus d’une centaine d’utilisateurs de Steam pour injures personnelles ou commentaires négatifs. Steam a réagi en supprimant tout leur catalogue, ainsi que leur compte. Depuis octobre 2016, la société n’existe plus. Merci mille fois à Jim Sterling !Vous êtes d’accord avec notre sélection ? Jetez un coup d’œil à ces autres supers vidéos de WatchMojo Français et n’oubliez pas de vous abonner pour
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