TOP 10 JEUX VIDÉO MALAISANTS !

Les moments embarrassants sont légion dans les jeux, mais peu d’entre eux le sont dans leur totalité. Bienvenue sur WatchMojo Français, aujourd’hui nous faisons le décompte du Top 10 des jeux vidéo les plus gênants.

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Pour cette liste, nous passons en revue les jeux auxquels il vaut mieux ne pas jouer quand d’autres personnes sont là, même si on exclut le porno ou les jeux interdits aux mineurs, parce que c’est trop facile.

#10 : « Soulcalibur IV » et « V » (2008 et 2012)

Si l’on pourrait parler des vêtements de plus en plus courts d’Ivy, c’est surtout son système d’armure unique qui atterrit sur cette liste. Les joueurs débutent le match en portant une armure robuste, mais au fur et à mesure que sa vie baisse, les différentes pièces s’enlèvent. Du coup, si vos parents débarquent, ils peuvent croire que vous jouez à un jeu où vous devez retirez les vêtements de votre adversaire avec le plus de violence possible. Ce n’est que lorsque votre adversaire se tient devant vous en sous-vêtements qu’on peut assener le coup final. Et comme si trouver ça dans Soulcalibur IV ne suffisait pas, Project Soul a aussi inclus cet élément de gameplay dans la suite.

#9 : La série « Bayonetta » (2010-)

D’accord, il s’agit d’une série populaire avec une histoire prenante, des personnages que l’on apprécie et l’un des plus grands systèmes de combat du genre hack’n slash, mais bon on incarne quand même une sorcière qui est nue bien plus souvent qu’elle ne le devrait. Le costume de Bayonetta est constitué de ses propres cheveux magiques, qu’elle utilise aussi pour faire apparaître des démons et combattre les divers ennemis du jeu. Chaque fois qu’elle fait un coup élaboré, elle laisse échapper un cri de plaisir, et toute la bande originale du jeu est un remix pop de Fly Me to the Moon en boucle. Tous ces éléments combinés vous pousseront à vous justifier auprès des curieux.

#8 : « Catherine » (2011)

Le gameplay de plateforme et d’énigmes de Catherine est assez banal, mais c’est l’histoire qui vous poussera à fermer la porte de votre chambre avant de le lancer. Le protagoniste, Vincent, doit choisir d’épouser sa petite amie de longue date Katherine avec un K, ou de la tromper avec la jeune et énigmatique Catherine avec un C. La décision de Vincent revient entièrement aux joueurs, même s’ils ne peuvent pas empêcher Vincent de tromper sa copine au début du jeu.Mais les parties les plus provocantes sont les scènes du confessionnal : dans ces sections, les joueurs doivent répondre à une série de questions gênantes, et autant être honnêtes où vous risquez de dormir sur le canapé.

#7 : « Night Trap » (1992)

Décrit plutôt comme un simulateur de voyeurisme, « Night Trap » était tellement controversé qu’il fait partie des jeux qui ont mené à la création du système d'évaluation des jeux vidéo nommé ESBR en Amérique du Nord, dans les années 90. Les joueurs incarnent un agent spécial qui doit aider un groupe d’adolescentes piégées dans une maison glauque, en secret, afin qu’elles survivent aux attaques de mystérieux assaillants pendant la nuit. Mais là où c’est vraiment glauque, c’est qu’on peut visionner les différentes caméras, écouter tout ce que disent les filles entre elles. Pire encore, le gameplay est constitué de séquences avec de vraies actrices, ce qui rend le voyeurisme encore plus sinistre.

#6 : « Bikini Karate Babes » (2002)

Dans ce jeu, l’habit – ou plutôt le manque d’habit- fait bien le moine. Le postulat d’un jeu de combat uniquement basé sur des femmes en bikini qui s’affrontent est déjà bien gênant, mais ajoutez à ça une animation et une esthétique terribles, et vous obtenez un jeu auquel personne n’a envie de jouer. Leur style de combat ressemble un peu au karaté, et certains de leurs « coups mystiques » laissent à désirer. Lorsqu’un jeu montre un personnage qui tire des rayons lasers à partir de ses seins, les développeurs ont pas mal de comptes à rendre.

#5 : « Leisure Suit Larry: Magna Cum Laude » (2004)

Toute la série des « Leisure Suit Larry » est gênante, depuis le tout début, puisqu’on suit Larry Laffer, un adulte vierge, qui tente d’embrouiller les femmes pour les mettre dans son lit. Mais le 8ème opus est différent, et se dote d’un nouveau protagoniste : Larry Lovage, le neveu de l’original, ainsi que d’une toute nouvelle équipe de développement. Cette équipe a eu de nouvelles idées, dont le fait de mettre des scènes de nudité dans Magna Cum Laude. Il a été censuré aux USA, mais en Europe, les poursuites pour pornographie n’ont pas entravé la liberté de Larry, tandis qu’il cherche des « démonstrations d’affection » en manipulant les étudiantes pour coucher avec elles.

#4 : « Tomak: Save the Earth Love Story » (2001)

Le but de « Tomak » est de prouver que l’amour existe encore, et pour ce faire, il faut séduire la déesse de l’amour, Evian, qui est en fait une tête humaine désincarnée mise dans un pot de fleurs – What the fuck ? Vous avez obligation de la séduire, autrement les autres dieux élimineront l’humanité, qu’ils considèreront incapable de romance. Ok… Et s’il s’agit d’une tête unique, c’est pour montrer le pouvoir de l’amour et non pas celui du désir. Mais le gameplay, qui vous demande de nourrir, soigner et amuser la tête d’Evian, en fait une espèce de simulation d'animal domestique slash relation amoureuse, ce qui est très difficile à expliquer aux novices.

#3 : « Muscle March » (2010)

La Nintendo Wii, comme n’importe quelle console, a son lot de jeux bizarres, mais aucun n’égale l’inexplicable Muscle March. Les joueurs doivent incarner un culturiste à qui l’on a volé sa poudre protéinée alors qu’il était à la salle de sport. Du coup, on poursuit le voleur, qu’on suit à travers divers murs et obstacles en devant prendre des poses avec la Wii-mote pour passer dans les trous. Le style assez étrange et le sujet vous donneront l’impression d’être dans une émission télévisée japonaise, sauf que le seul prix auquel vous avez droit, c’est une bonne grosse dose d’embarras et… et c’est tout, en fait.

#2 : La série « Dead or Alive Xtreme » (2003-2016)

C'est l’heure de notre dernier épisode de « Vous vous y attendiez tous » et aujourd’hui, il s’agit d’une série de jeux qui n’en a tellement rien à battre, que même les pubs ne tentent pas de cacher son but.Le « but » premier est de terminer des minijeux afin de gagner de quoi acheter des maillots de bain pour les personnages. Mais la série n’est pas exempte de critiques : la réification des filles a fait beaucoup parler d’elle depuis le premier jeu, et certains des minijeux sont vraiment chelous –surtout les batailles de fessiers, où l’on doit faire tomber l’autre d’un podium dans une piscine en utilisant, vous l’aurez deviné, les fessiers.

Avant de dévoiler notre vainqueur, voici quelques mentions honorables :
« Rumble Roses » (2004)
« Creature of Koi Shiyo! KokonoeKokoro! » (2018)
« Seaman » (2000)

#1 : « HuniePop » (2015)

Combinaison gagnante entre jeu de puzzle et de simulation, « HuniePop » a été considéré tellement osé que Twitch a banni les utilisateurs qui streamaient sur ce jeu. Sous les ordres de la fée de l’amour nommée Kyu, le joueur doit séduire douze filles dans leur ville fictionnelle. Certaines de ces femmes sont des humaines normales, et d’autre sont des félines, des aliens ou encore des déesses. Résoudre les puzzles et mettre les filles dans votre lit les remplira peut-être de plaisir, mais vous ne ressentirez que de la gêne.

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