Top 10 des pires reprises d'Hollywood
Il semble parfois clair qu’Hollywood est en manque d’idées. Bienvenue sur WatchMojo.com et aujourd'hui nous allons faire le décompte de nos choix pour le Top 10 des pires reprises de films fournies par Hollywood.
Numéro 10: The Day The Earth Stood Still (2008)
Débutant notre liste est l'adaptation qui n’a pas compris que sa version originale était un produit bien de son époque. Le premier film a été tourné alors que régnait une l'atmosphère constante de menace d’anéantissement et de paranoïa, ce qui a participé à sa popularité. Évidemment, la reprise a rapporté beaucoup d'argent, mais c’était un film extrêmement ennuyant que personne ne désire revoir une deuxième fois.
Numéro 9: Charlie And The Chocolate Factory (2005)
Cette reprise de Tim Burton était un autre gaspillage terrible de pellicule. Comme l'original, le film tournait autour d'un garçon qui gagne un billet d'or; cependant, la reprise a échoué car elle n'avait pas le cœur de l'original et contenait des Oompa Loompas désagréables. Ne mentionnez même pas l'imitation répugnante de Michael Jackson par Johnny Depp.
Numéro 8: Dinner For Schmucks (2010)
Ce film était une comédie farfelue mettant en vedette Steve Carell et Paul Rudd. C'était une reprise du film français acclamé ''Le diner de cons''. C’est le récit d’un homme d'affaires qui doit se trouver un idiot pour amener à un diner mesquin. Comme plusieurs des films dans cette liste, ce désastre a pris des acteurs aimables et du matériel de source excellent et a tout transformé en gâchis.
Numéro 7: The Invasion (2007)
Celle-ci est la troisième reprise de ''The Invasion of the Body Snatchers'' de 1956. Racontant l'histoire d'une invasion extraterrestre, elle aurait dû être excitante, mais s'est montrée sans âme. Après avoir été infectés, les personnages sont forcés d'essayer de rester éveillés. Ceci, bien sûr, reflète l'expérience des audiences du film.
Numéro 6: Planet of the Apes (2001)
Ce projet a été la première tentative de Tim Burton de relancer un classique intouchable. Il a placé un Mark Wahlberg ennuyant dans le rôle iconique de l'astronaute naufragé originalement joué par Charlton Heston. Le résultat est un film qui a essayé d'imiter le commentaire social profond de l'original, en y ajoutant aussi de l'action. Malheureusement, la fin du film laissait à désirer. Est-ce que Burton tentait tout simplement de battre M. Night Shyamalan dans le département des révélations surprises?
Numéro 5: Godzilla (1998)
Ce film était le produit de Dean Devlin et Roland Emerich. On croirait que de tout Hollywood, ce duo était fiable: après tout, Godzilla était une légende des films de monstre. Malgré ce pedigree imposant, la production a succombé à un script kitch, un manque total de dénouement et la performance douteuse de Matthew Broderick.
Numéro 4: The Wicker Man (2006)
Nicolas Cage joue le rôle d'un policier qui voyage à une île lointaine pour résoudre la disparition mystérieuse d'un enfant. Cage s'est très peu inspiré du classique culte d'horreur de 1973, et a tout simplement semé la confusion auprès des audiences en frappant des femmes, en volant des bicyclettes, en hurlant et en portant un costume d'ours.
Numéro 3: Rollerball (2002)
Dans ce film d'action et de science fiction, l'évènement principal était un sport ultraviolent qui a émergé en 2005. Autant que le film original était sombre et ridicule, il se tenait beaucoup mieux debout que cette reprise débile. Comme pour plusieurs blockbusters potentiels, toutes les ressources ont été investies en action et en bruit, ce qui n’a mené nul part. En bref, LL Cool J était le meilleur élément de ce film, et cela n'est jamais une bonne chose.
Numéro 2: The Pink Panther (2006)
Cette tentative de faire de l'argent était enveloppée dans une promesse de nostalgie et de rires honnêtes. Ce qu'Hollywood n'a pas réalisé est que Peter Sellers a à lui seul fait fonctionner cette série iconique à l'aide de sa comédie subtile, tandis que Steve Martin était complètement philistin. Encore plus choquant, cette reprise a réussi à engendrer une suite encore pire.
Number 1: Psycho (1998)
Prenant la position la plus déshonorée dans notre décompte Top 10 est le massacre prise par prise du thriller classique d'Alfred Hitchcock. Ce film est en couleur, quelque chose dont Hitchcock lui-même n'avait pas besoin. La reprise ajoute aussi des performances horribles par Anne Heche et Vince Vaughan qui prouvent que cette mise à jour est complètement inutile.
Numéro 10: The Day The Earth Stood Still (2008)
Débutant notre liste est l'adaptation qui n’a pas compris que sa version originale était un produit bien de son époque. Le premier film a été tourné alors que régnait une l'atmosphère constante de menace d’anéantissement et de paranoïa, ce qui a participé à sa popularité. Évidemment, la reprise a rapporté beaucoup d'argent, mais c’était un film extrêmement ennuyant que personne ne désire revoir une deuxième fois.
Numéro 9: Charlie And The Chocolate Factory (2005)
Cette reprise de Tim Burton était un autre gaspillage terrible de pellicule. Comme l'original, le film tournait autour d'un garçon qui gagne un billet d'or; cependant, la reprise a échoué car elle n'avait pas le cœur de l'original et contenait des Oompa Loompas désagréables. Ne mentionnez même pas l'imitation répugnante de Michael Jackson par Johnny Depp.
Numéro 8: Dinner For Schmucks (2010)
Ce film était une comédie farfelue mettant en vedette Steve Carell et Paul Rudd. C'était une reprise du film français acclamé ''Le diner de cons''. C’est le récit d’un homme d'affaires qui doit se trouver un idiot pour amener à un diner mesquin. Comme plusieurs des films dans cette liste, ce désastre a pris des acteurs aimables et du matériel de source excellent et a tout transformé en gâchis.
Numéro 7: The Invasion (2007)
Celle-ci est la troisième reprise de ''The Invasion of the Body Snatchers'' de 1956. Racontant l'histoire d'une invasion extraterrestre, elle aurait dû être excitante, mais s'est montrée sans âme. Après avoir été infectés, les personnages sont forcés d'essayer de rester éveillés. Ceci, bien sûr, reflète l'expérience des audiences du film.
Numéro 6: Planet of the Apes (2001)
Ce projet a été la première tentative de Tim Burton de relancer un classique intouchable. Il a placé un Mark Wahlberg ennuyant dans le rôle iconique de l'astronaute naufragé originalement joué par Charlton Heston. Le résultat est un film qui a essayé d'imiter le commentaire social profond de l'original, en y ajoutant aussi de l'action. Malheureusement, la fin du film laissait à désirer. Est-ce que Burton tentait tout simplement de battre M. Night Shyamalan dans le département des révélations surprises?
Numéro 5: Godzilla (1998)
Ce film était le produit de Dean Devlin et Roland Emerich. On croirait que de tout Hollywood, ce duo était fiable: après tout, Godzilla était une légende des films de monstre. Malgré ce pedigree imposant, la production a succombé à un script kitch, un manque total de dénouement et la performance douteuse de Matthew Broderick.
Numéro 4: The Wicker Man (2006)
Nicolas Cage joue le rôle d'un policier qui voyage à une île lointaine pour résoudre la disparition mystérieuse d'un enfant. Cage s'est très peu inspiré du classique culte d'horreur de 1973, et a tout simplement semé la confusion auprès des audiences en frappant des femmes, en volant des bicyclettes, en hurlant et en portant un costume d'ours.
Numéro 3: Rollerball (2002)
Dans ce film d'action et de science fiction, l'évènement principal était un sport ultraviolent qui a émergé en 2005. Autant que le film original était sombre et ridicule, il se tenait beaucoup mieux debout que cette reprise débile. Comme pour plusieurs blockbusters potentiels, toutes les ressources ont été investies en action et en bruit, ce qui n’a mené nul part. En bref, LL Cool J était le meilleur élément de ce film, et cela n'est jamais une bonne chose.
Numéro 2: The Pink Panther (2006)
Cette tentative de faire de l'argent était enveloppée dans une promesse de nostalgie et de rires honnêtes. Ce qu'Hollywood n'a pas réalisé est que Peter Sellers a à lui seul fait fonctionner cette série iconique à l'aide de sa comédie subtile, tandis que Steve Martin était complètement philistin. Encore plus choquant, cette reprise a réussi à engendrer une suite encore pire.
Number 1: Psycho (1998)
Prenant la position la plus déshonorée dans notre décompte Top 10 est le massacre prise par prise du thriller classique d'Alfred Hitchcock. Ce film est en couleur, quelque chose dont Hitchcock lui-même n'avait pas besoin. La reprise ajoute aussi des performances horribles par Anne Heche et Vince Vaughan qui prouvent que cette mise à jour est complètement inutile.