Top 10 des MÉCHANTS les plus STUPIDES des FILMS D'HORREURS !
Quand on y pense, c'est plus golri qu’effrayant. Bienvenue sur WatchMojo Français, aujourd’hui nous faisons le décompte du Top 10 des films d’horreurs qui ont essayé de nous faire peur de manière ridicule !
Tiens, prends une tomate. N’aie pas peur.
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Pour cette liste, nous passons en revue les antagonistes et stratagèmes de films d’horreur qui ont tenté de rendre l’ordinaire extraordinairement effrayant. On ne dit pas que ces films sont tous des nanars, ou qu’ils ne nous font pas peur, mais que la source de l’horreur est soit dans la moyenne, inattendue, ou tout simplement banale. Attention également aux spoilers dans certaines entrées !
Voilà le lancer, et la balle ! C’est parti loin !
10 : Les Leprechauns
- C’est mon or ?
- T’es quoi, toi ?
- Un leprechaun, mon p’tit.
Bon, on peut comprendre qu’avec un angle différent, ça peut-être effrayant : un objet est dérobé à une créature mythique dérangée venant de l’ancien monde, qui traque le voleur en Amérique pour se venger et semer la panique.
- Je veux mon or, maintenant !
- Certainement pas !
En fait, ça ressemble à un peu à l’histoire de l’Exorciste. Sauf que les Pères Merrin et Karras se battaient contre un démon ! La plupart des gens associent les leprechauns à une marque de céréale.
Même dans la tradition celtique, il s’agit de petites fées farceuses qui adorent s’amuser.
Dansons la capucine, y'a pas de pain chez nous.
L’image du barbu aux chaussures bouclées est juste trop dure à abandonner, et une fée meurtrière n’est pas forcément assez effrayante.
Y’en a chez la voisine, mais ce n’est pas pour nous.
9 : Le bonhomme de neige
- Mais t’es quoi, toi ?
- Le granité le plus énervé du monde !
C’est la base quand il neige : on s'habille chaudement, et on fait un bonhomme de neige. Modelables à souhait, ces jolies sculptures ont inspiré plus d’une comptine. Ils sont ronds, joyeux – quelqu'un allait forcément vouloir les rendre effrayants. A ne pas confondre avec son homonyme sorti au cinéma un an plus tard, les créateurs du Jack Frost de 1997 n’ont même pas créé un design intimidant. Avec son nez-carotte et son écharpe écossaise, il pourrait être dans n'importe quel jardin.
J’ai dit : qui est là ?
Et si c'était ça le concept ?. Le temps est peut-être affreux en cette saison, mais Frosty, lui… est juste banal.
8 : Les cassettes vidéo
Ce film et son remake américain sont des films d’horreur plutôt effrayants, qui offrent aux spectateurs du monde entier une montée en puissance et un twist original. Mais sa plus grande réussite, c’est d’avoir rendu les gens suspicieux des écrans et de certaines technologies. Le postulat sera repris dans d'autres films, des sites web tueurs aux coups de téléphone qui tuent des victimes innocentes.
Bon, ok, après visionnage du film, qui, en trouvant une cassette vidéo sans étiquette, aurait été capable de la mettre dans un magnétoscope sans avoir un peu la pétoche ? Soyez honnêtes, on est entre potes ! On s'en doutait : personne.
7 : Les lits
Je ne suis qu’une grosse brioche bien chaude.
Les lits auraient une place spéciale dans les foyers, puisque la vie y commence, et s'y termine. En plus, on peut y faire des forts d’oreillers ou un nid douillet en hiver.
- Je pourrais dormir par terre.
- N’importe quoi, il y a plein de place. Je ne vais pas t’obliger à dormir par terre, Susan.
Ce premier sentiment horriblement poétique a dû traverser l’esprit des réalisateurs, dont le titre signifie en Français : « Lit de la mort : le lit qui dévore ». Le lit maléfique avale des gens qui déboulent sans arrêt et se vautrent sur les vieilles couvertures poussiéreuses, comme le veut la coutume chez les jeunes. Alors quand vous vous coucherez, apportez un seau d’ailes de poulet et une bouteille de vin, et surveillez votre matelas. Juste au cas où…
6 : Skype
D’accord, le logiciel en soi n’est ni le méchant, ni l’agresseur en question, et le système d’appel vidéo est plus ou moins la ligne conductrice du film.
Deux, quatre, six, huit, qui apprécie… tes seins ! Tes seins !
Mais vu le résultat, il est clair que le réalisateur souhaitait que l’expérience soit familière, peut-être assez pour qu’on se demande qui d’autre est là, la prochaine fois qu’on se connecte.
Ken, Ken ? Ken ?
L’oeuvre véhicule un message sur le harcèlement et ses conséquences, sauf que ce genre de film nous frustre. Le souci avec les films de cyber-horreur, c’est qu’on peut s’en sortir facilement. On se déconnecte, et on se casse. Problème résolu, non ?
5 : Les vagins
S’inspirant de la légende du vagina dentata, ce film intègre les histoires d’autrefois à une histoire moderne de vengeance.
- Je me suis même pas branlé depuis Pâques !
- J’ai dit non !
En gros, voici le scénario : Dawn, une ado abstinente, se fait violer par le garçon qui lui plaît, du coup, son vagin lui déchire le pénis. Vous êtes toujours là ? L’idée d’un violeur qui récolte ce qu’il mérite n’est pas mauvaise, le problème, c’est que le film risque de faire flipper tout le monde, agresseur ou non. Du coup, on vous rassure : même si ça reste parfois mystérieux, il n'y a rien à craindre là dessous.
Merde.
4 : Les vers de terre
Ils sont petits, lents, invertébrés, et sans jambes. On continue, ou vous captez l'idée ?
Il y avait cent mille vers, ils m’ont coûté plus de trois cents dollars, fiston.
Alors certes, les vers peuvent être un peu gluants, mais ça vous terrifie un truc qui se fait avaler sans problème par un petit oiseau ? Ils vont quoi, ramper vers vous ? Apparemment, ceux du film ont pris goût à la chair humaine. Comment ?! Ils n’ont même pas de dents !
Si des vers vous attaquent, ce qui semble invraisemblable, cherchez simplement l’aide d’un gros hameçon, ou d’une mésange. Franchement, la solution à ce problème ressemble plus à une journée de détente.
3 : Les tomates
Bon, au moins celui-ci ne se prend pas au sérieux. Au départ, il rappelle au public que lorsqu’Alfred Hitchcock a expliqué le scénario des Oiseaux, les gens ont d’abord rigolé, mais que personne ne riait en sortant de la projection. Et avec ça, les créateurs continuent de véhiculer l’idée que la prochaine tomate que vous croisez pourrait bien vous tuer, vous et vos êtres chers.
- C’est du sang ?
- Du jus de tomate.
Ce n’est pas du sang, c’est du jus de tomate ! Avec son postulat de film-B, ce film d’horreur risque de produire pas mal de rire…
Je suis en phase avec mes tomates.
2 : Le sable
Ne touche pas le sable.
La plupart d’entre nous avons déjà couru sur des plages de sable brûlant dans notre vie, et le plus gros danger, c’était qu’un abruti ait cassé une bouteille en verre dans notre endroit préféré. Mais ce film va bien plus loin : et si le sable lui-même était le danger ?
Au secours, au secours !
Pour être honnête, l’équipe a tout donné ici, et a créé un méchant qui entoure complètement les héros fêtards au lieu d’être caché dans l’eau. Cependant, ça n’empêche malheureusement pas le postulat du film d’être ridicule.
Avant de dévoiler notre vainqueur, voici quelques mentions honorables :
Le bonhomme de pain d’épices
« The Gingerdead Man » (2005)
Le bruit blanc
« La Voix des morts » (2005)
Les extensions
« Exte » (2007)
1 : Les plantes
Essayons d’échapper au vent.
(M ne veut pas dire Monsieur dans ce cas-ci !)
Ah, M Shyamalan (M - Chi-ya-ma-lanne), que s’est-il passé ? Le film paraît débuter avec un postulat flippant : partout dans le monde, les gens perdent spontanément l’esprit, et se suicident peu de temps après. Mais pour quelle raison ? Une attaque terroriste ? Le poison injecté dans l’air par les centrales nucléaires qui revient enfin nous hanter ? Ou un truc tellement sinistre qu’on ne peut même pas l’imaginer ? Eh bien en fait, il s’agit des plantes. Genre les arbres, et tout.
Et on va partir. J’espère que ça vous va.
Elles libèrent des toxines qui forcent les gens à se suicider. Alors, la prochaine fois que vous croisez un groupe d’arbres qui se balance doucement dans le vent, eh bien…soyez terrifié!!?
Oh, mon Dieu.
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Tiens, prends une tomate. N’aie pas peur.
Nous publions de nouvelles vidéos chaque jour, alors abonnez-vous pour être au courant des nouveautés excitantes !
Pour cette liste, nous passons en revue les antagonistes et stratagèmes de films d’horreur qui ont tenté de rendre l’ordinaire extraordinairement effrayant. On ne dit pas que ces films sont tous des nanars, ou qu’ils ne nous font pas peur, mais que la source de l’horreur est soit dans la moyenne, inattendue, ou tout simplement banale. Attention également aux spoilers dans certaines entrées !
Voilà le lancer, et la balle ! C’est parti loin !
10 : Les Leprechauns
« Leprechaun » (1993)
- C’est mon or ?
- T’es quoi, toi ?
- Un leprechaun, mon p’tit.
Bon, on peut comprendre qu’avec un angle différent, ça peut-être effrayant : un objet est dérobé à une créature mythique dérangée venant de l’ancien monde, qui traque le voleur en Amérique pour se venger et semer la panique.
- Je veux mon or, maintenant !
- Certainement pas !
En fait, ça ressemble à un peu à l’histoire de l’Exorciste. Sauf que les Pères Merrin et Karras se battaient contre un démon ! La plupart des gens associent les leprechauns à une marque de céréale.
Même dans la tradition celtique, il s’agit de petites fées farceuses qui adorent s’amuser.
Dansons la capucine, y'a pas de pain chez nous.
L’image du barbu aux chaussures bouclées est juste trop dure à abandonner, et une fée meurtrière n’est pas forcément assez effrayante.
Y’en a chez la voisine, mais ce n’est pas pour nous.
9 : Le bonhomme de neige
« Jack Frost » (1997)
- Mais t’es quoi, toi ?
- Le granité le plus énervé du monde !
C’est la base quand il neige : on s'habille chaudement, et on fait un bonhomme de neige. Modelables à souhait, ces jolies sculptures ont inspiré plus d’une comptine. Ils sont ronds, joyeux – quelqu'un allait forcément vouloir les rendre effrayants. A ne pas confondre avec son homonyme sorti au cinéma un an plus tard, les créateurs du Jack Frost de 1997 n’ont même pas créé un design intimidant. Avec son nez-carotte et son écharpe écossaise, il pourrait être dans n'importe quel jardin.
J’ai dit : qui est là ?
Et si c'était ça le concept ?. Le temps est peut-être affreux en cette saison, mais Frosty, lui… est juste banal.
8 : Les cassettes vidéo
« Ring » (1998)
Ce film et son remake américain sont des films d’horreur plutôt effrayants, qui offrent aux spectateurs du monde entier une montée en puissance et un twist original. Mais sa plus grande réussite, c’est d’avoir rendu les gens suspicieux des écrans et de certaines technologies. Le postulat sera repris dans d'autres films, des sites web tueurs aux coups de téléphone qui tuent des victimes innocentes.
Bon, ok, après visionnage du film, qui, en trouvant une cassette vidéo sans étiquette, aurait été capable de la mettre dans un magnétoscope sans avoir un peu la pétoche ? Soyez honnêtes, on est entre potes ! On s'en doutait : personne.
7 : Les lits
« Death Bed: The Bed That Eats » (1977)
Je ne suis qu’une grosse brioche bien chaude.
Les lits auraient une place spéciale dans les foyers, puisque la vie y commence, et s'y termine. En plus, on peut y faire des forts d’oreillers ou un nid douillet en hiver.
- Je pourrais dormir par terre.
- N’importe quoi, il y a plein de place. Je ne vais pas t’obliger à dormir par terre, Susan.
Ce premier sentiment horriblement poétique a dû traverser l’esprit des réalisateurs, dont le titre signifie en Français : « Lit de la mort : le lit qui dévore ». Le lit maléfique avale des gens qui déboulent sans arrêt et se vautrent sur les vieilles couvertures poussiéreuses, comme le veut la coutume chez les jeunes. Alors quand vous vous coucherez, apportez un seau d’ailes de poulet et une bouteille de vin, et surveillez votre matelas. Juste au cas où…
6 : Skype
« Unfriended » (2014)
D’accord, le logiciel en soi n’est ni le méchant, ni l’agresseur en question, et le système d’appel vidéo est plus ou moins la ligne conductrice du film.
Deux, quatre, six, huit, qui apprécie… tes seins ! Tes seins !
Mais vu le résultat, il est clair que le réalisateur souhaitait que l’expérience soit familière, peut-être assez pour qu’on se demande qui d’autre est là, la prochaine fois qu’on se connecte.
Ken, Ken ? Ken ?
L’oeuvre véhicule un message sur le harcèlement et ses conséquences, sauf que ce genre de film nous frustre. Le souci avec les films de cyber-horreur, c’est qu’on peut s’en sortir facilement. On se déconnecte, et on se casse. Problème résolu, non ?
5 : Les vagins
« Teeth » (2007)
S’inspirant de la légende du vagina dentata, ce film intègre les histoires d’autrefois à une histoire moderne de vengeance.
- Je me suis même pas branlé depuis Pâques !
- J’ai dit non !
En gros, voici le scénario : Dawn, une ado abstinente, se fait violer par le garçon qui lui plaît, du coup, son vagin lui déchire le pénis. Vous êtes toujours là ? L’idée d’un violeur qui récolte ce qu’il mérite n’est pas mauvaise, le problème, c’est que le film risque de faire flipper tout le monde, agresseur ou non. Du coup, on vous rassure : même si ça reste parfois mystérieux, il n'y a rien à craindre là dessous.
Merde.
4 : Les vers de terre
« La Nuit des vers géants » (1976)
Ils sont petits, lents, invertébrés, et sans jambes. On continue, ou vous captez l'idée ?
Il y avait cent mille vers, ils m’ont coûté plus de trois cents dollars, fiston.
Alors certes, les vers peuvent être un peu gluants, mais ça vous terrifie un truc qui se fait avaler sans problème par un petit oiseau ? Ils vont quoi, ramper vers vous ? Apparemment, ceux du film ont pris goût à la chair humaine. Comment ?! Ils n’ont même pas de dents !
Si des vers vous attaquent, ce qui semble invraisemblable, cherchez simplement l’aide d’un gros hameçon, ou d’une mésange. Franchement, la solution à ce problème ressemble plus à une journée de détente.
3 : Les tomates
« L'Attaque des tomates tueuses » (1978)
Bon, au moins celui-ci ne se prend pas au sérieux. Au départ, il rappelle au public que lorsqu’Alfred Hitchcock a expliqué le scénario des Oiseaux, les gens ont d’abord rigolé, mais que personne ne riait en sortant de la projection. Et avec ça, les créateurs continuent de véhiculer l’idée que la prochaine tomate que vous croisez pourrait bien vous tuer, vous et vos êtres chers.
- C’est du sang ?
- Du jus de tomate.
Ce n’est pas du sang, c’est du jus de tomate ! Avec son postulat de film-B, ce film d’horreur risque de produire pas mal de rire…
Je suis en phase avec mes tomates.
2 : Le sable
« The Sand » (2015)
Ne touche pas le sable.
La plupart d’entre nous avons déjà couru sur des plages de sable brûlant dans notre vie, et le plus gros danger, c’était qu’un abruti ait cassé une bouteille en verre dans notre endroit préféré. Mais ce film va bien plus loin : et si le sable lui-même était le danger ?
Au secours, au secours !
Pour être honnête, l’équipe a tout donné ici, et a créé un méchant qui entoure complètement les héros fêtards au lieu d’être caché dans l’eau. Cependant, ça n’empêche malheureusement pas le postulat du film d’être ridicule.
Avant de dévoiler notre vainqueur, voici quelques mentions honorables :
Le bonhomme de pain d’épices
« The Gingerdead Man » (2005)
Le bruit blanc
« La Voix des morts » (2005)
Les extensions
« Exte » (2007)
1 : Les plantes
« Phénomènes » (2008)
Essayons d’échapper au vent.
(M ne veut pas dire Monsieur dans ce cas-ci !)
Ah, M Shyamalan (M - Chi-ya-ma-lanne), que s’est-il passé ? Le film paraît débuter avec un postulat flippant : partout dans le monde, les gens perdent spontanément l’esprit, et se suicident peu de temps après. Mais pour quelle raison ? Une attaque terroriste ? Le poison injecté dans l’air par les centrales nucléaires qui revient enfin nous hanter ? Ou un truc tellement sinistre qu’on ne peut même pas l’imaginer ? Eh bien en fait, il s’agit des plantes. Genre les arbres, et tout.
Et on va partir. J’espère que ça vous va.
Elles libèrent des toxines qui forcent les gens à se suicider. Alors, la prochaine fois que vous croisez un groupe d’arbres qui se balance doucement dans le vent, eh bien…soyez terrifié!!?
Oh, mon Dieu.
Vous êtes d’accord avec notre sélection ? Jetez un coup d’œil à ces autres supers vidéos de WatchMojo Français et n’oubliez pas de vous abonner pour être au courant des nouveautés !